Je dois donner mon sang. Pour cela il faut que je gravisse des escaliers échevelés, à la perspective déformée façon escher ou Tim Burton. J'arrive en face de l'homme qui doit me prélever mon sang. On est dans une espèce de cabine téléphonique. Il me prend le poignet gauche, pratique une entaille d'un geste rapide. Une goutte perle. Mais il continue, comme s'il en retirait du plaisir. Je suis obligé de retirer ma main de force.
Au réveil je sens les démangeaisons des griffures à l'endroit où elles étaient en rêve.